les mots sont une mer qui s'étend dans tes yeux, les vagues se heurtent, et de chaque brisement sur le rivage les souvenirs les plus doux mêlent le passé et le présent avec de l'eau blanche, et les champs et les collines s'aplanissent dans tes yeux, et les oiseaux chantent ce nuage de ces chansons éternelles, et l'humidité éteint les anémones sur tes joues, alors les vents de ta sympathie succombent, je voyage dans le temps sans mes navires, et verse des larmes.